Eudes Stenger, jeune talent originaire de la région Sud, s’est engagé dans l’édition 2025 de WorldSkills France, qui s’est tenu à Marseille du 16 au 18 octobre. Il représente sa filière — tôlerie-carrosserie — au sein de l’équipe de la Région Sud, parmi les 75 compétiteurs sélectionnés. Région Sud
Cette compétition nationale des métiers réunit chaque année des jeunes apprentis et professionnels en formation dans divers secteurs – de la construction à l’industrie, des services à l’artisanat – afin de les mettre en concurrence autour d’épreuves techniques exigeantes.
Pour Eudes, l’épreuve de tôlerie-carrosserie consiste à démontrer sa maîtrise de la déformation, de l’assemblage, du soudage des métaux, de la finition et de la réparation dans un temps imparti. Il doit faire preuve d’un grand sens de la précision, de la méthodologie et de l’observation des normes de sécurité.
Avant d’atteindre ce niveau, Eudes a dû passer par des phases de sélection régionales. Ces étapes lui ont permis de gagner en expérience, de reculer ses limites techniques, et de se confronter à un cadre d’évaluation très exigeant.
À Marseille, il a évolué dans un contexte stimulant : les épreuves étaient publiques, en présence de jurys professionnels, d’autres compétiteurs venus de tout le pays, et souvent d’un public scolaire. Cela ajoute une dimension psychologique : gérer le stress, rester concentré malgré les conditions extérieures.
L’équipe Région Sud mise sur la diversité — 69 métiers représentés, Plus 600 jeunes compétiteurs, pour illustrer l’excellence et la richesse des vocations techniques.
La compétition sert aussi de tremplin : les meilleurs pourront prétendre à rejoindre l’équipe de France des métiers, avec la perspective d’épreuves internationales comme les WorldSkills.
Pour Eudes, cette participation est une occasion unique : se mesurer à ses pairs, consolider son réseau professionnel, se faire remarquer par des entreprises du secteur, et enrichir son bagage technique.
Même si le défi était immense — chaque erreur se paye cher — Eudes était préparé : ses entraînements ont porté sur la rapidité, la répétition, et l’anticipation des difficultés.
Avec une médaille d’excellence pour une 6ème place, sa présence à Marseille constitue déjà une victoire personnelle.
On suivra avec attention ses performances pour une future participation dans 2 ans, car Eudes a pris goût à la compétition.

Une performance exceptionnelle pour ce ce jeune concepteur qui a débuté son parcours en BAC PRO Etude et Définition de Produits Industriels (EDPI), avant de poursuivre en BTS Conception de Produits Industriels (CPI) dans le même établissement.
L’aventure ne s’arrête pas là. Grâce à cette victoire, Raphaël représentera désormais la France à la compétition mondiale à Shanghaï, après sa titularisation fin novembre, où il portera haut les couleurs du pays, du lycée Les Eucalyptus et de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur.
Au-delà de la technique, les élèves ont pu saisir l’importance du travail collaboratif entre les différents métiers et la valeur du savoir-faire industriel local.
Le Concours Général des Métiers est un concours national organisé par le ministère de l’Éducation nationale. Il récompense les meilleurs élèves de terminale professionnelle dans différentes spécialités, en valorisant leur savoir-faire, leur créativité et leur capacité à répondre à des exigences professionnelles de haut niveau.
La spécialité MP3D forme des professionnels capables de concevoir, fabriquer et promouvoir des supports de communication imprimés (comme les brochures, affiches, packagings) et numériques (sites web, contenus interactifs, vidéos promotionnelles…).

Pour la huitième année notre lycée Les Eucalyptus participe aux Olympiades de chimie.
Bravo à Anahita Fontanille de TG2, pour ton enthousiasme et ton savoir-faire !
Analyser les techniques d’écriture de scénario, de mise en scène et de montage permet aux élèves de se forger une culture cinématographique leur permettant d’être des spectateurs attentifs et actifs. Ces mécanismes explorant également de façon transversale la psychologie, les sciences et les techniques, les élèves, faisant des ponts entre les disciplines, développent leur esprit critique et se placent eux-mêmes en « acteurs » de la société !
Les élèves de la classe de seconde 4 ont été attentifs aux informations données par Pascal Génot, certaines de leurs remarques complètent son analyse. Dans le film Psychose, la figure du tueur en série est très nouvelle et originale dans les années 60 aux Etats-Unis. « Le titre du film évoque la psychologie, les troubles de Norman sont intéressants à comprendre et son comportement également » (Vinh-Duc). Norman Bates, incarné par Anthony Perkins, passionné de taxidermie, n’apparaît pas dans un premier temps comme le personnage dont on va suivre l’histoire…ce procédé cinématographique innovant qu’A.Hitchcock met en œuvre déclenche un effet de suspense, se distinguant de l’effet de surprise plus connu jusque-là. « Le personnage de Norman m’a le plus marqué car personne ne se doute de sa double personnalité » (Jordan) Omar aussi retient la double personnalité du personnage principal. Le retournement de situation a d’ailleurs bien été noté par Emilie et Alexis. Il existe plusieurs techniques pour arriver à cet effet de suspense : à partir de la bande son, intégrer une musique inquiétante ; ou dans la réalisation : le spectateur a des informations que les personnages n’ont pas ; ou encore préparer le spectateur à une action qui va suivre, voir d’un dénouement attendu (ou inattendu) « J’ai aimé la musique, les effets spéciaux, le noir et blanc, tout est fait pour créer le suspense et la peur » (Charles) « C’est un film bien réalisé, avec beaucoup de moyens pour l’époque ! » (Paul) Margaux note également « l’originalité du film malgré l’époque de sa réalisation ». En effet, A.Hitchcock, en parfait manipulateur, embarque le spectateur sur une fausse piste, en lien avec « la suspension consentie de l’incrédulité » avancée par Samuel Coleridge, le réalisateur propose un cinéma du concret. La grande majorité des élèves retiennent la scène de la douche comme la plus marquante et emblématique du film, l’importance historique de Psychose leur donne raison ! Pour Pauline, c’est la figure momifiée qui a été la plus marquante voire dérangeante. A.Hitchcock utilise les bases bien connues du cinéma d’action, mais s’appuie également sur le jeu des acteurs, le célèbre acting du cinéma hollywoodien ! « Dans Psychose, le jeu des acteurs est très bon ! » (Illia) Yasmine aussi a beaucoup apprécié le jeu des acteurs. Et si on devait imaginer une morale à l’histoire ou une phrase choc qui qualifierait le film, cela pourrait être selon Illia : « Gardez votre ami proche et votre ennemi encore plus proche ! »
A.Hithcock a été le premier a initié le film de genre, le thriller, « ambiance inquiétante du film » (Louane/Sarah), copié à de multiples reprises depuis y compris dans le domaine des séries aujourd’hui. On tient le spectateur en haleine avec de nombreux rebondissements. On laisse imaginer aux spectateurs ce que pense réellement les personnages, les réalisateurs les plus innovants n’hésitent donc pas à user de stratagèmes de mise en scène pour garder le spectateur captif et impliqué en héritage d’un certain Monsieur Hitchcock !
Fin novembre 2024, les élèves de la classe de Terminale STI2D1 ont expérimenté en classe un escape game numérique portant sur la laïcité en France et les équivalents dans d’autres pays du monde. Leur enseignant d’Histoire-Géographie et d’EMC a fait confiance aux collègues d’anglais et de mathématiques qui avaient conçu l’escape game (en français) quelques mois auparavant. Ce travail collaboratif et interdisciplinaire a permis d’aborder la laïcité de manière ludique autant pour les professeurs-concepteurs que pour les élèves-joueurs.
Ce jeu d’évasion numérique consiste à lire des articles, écouter des podcasts et regarder des vidéos rappelant les fondamentaux du principe de laïcité en France et les équivalents à l’étranger, pour ensuite répondre à des énigmes et quiz interactifs. L’objectif du jeu est de rassembler des clés virtuelles permettant de résoudre l’énigme finale. C’est un jeu de coopération, de lecture, d’écoute, de manipulation et de déduction.
Il aurait fallu un peu plus de 2h pour que tous puissent gagner la partie, mais au minimum deux groupes par classe ont pu finir dans les temps, récompensés par une bande-dessinée humoristique dématérialisée promouvant les valeurs indispensables au vivre-ensemble.
Parmi les 45 élèves de la section carrosserie, une dizaine était des représentants du CVL, la majorité était des débutants, certains n’ayant même jamais vu la neige auparavant. Cette diversité a rendu l’expérience d’autant plus enrichissante. La montagne, si majestueuse et intimidante pour certains, s’est rapidement transformée en terrain de jeu.
Répartis en plusieurs groupes selon leur niveau, les élèves ont pu profiter des conseils avisés de leur professeur. Pour certains, c’était une première expérience sur des skis, marquée par quelques chutes mémorables, beaucoup de questions (comment on chausse, comment on tourne, comment on freine, c’est quoi un téléski…) mais surtout par de beaux progrès. Le front de neige à pu admirer les cascades de nos jeunes débutants. Les plus expérimentés, quant à eux, ont dévalé les pistes rouges et noires, enchaînant les descentes avec une aisance impressionnante.
Après plusieurs heures d’effort, la pause déjeuner au sommet du télésiège “le Schuss” a été l’occasion de partager un repas bien mérité en terrasse, face aux montagnes enneigées. Entre sandwichs et chocolats chauds, chacun a pu reprendre des forces avant de repartir pour un après-midi de glisse.
L’après-midi a été rythmé par des descentes en groupe, des chutes et quelques défis lancés entre amis et professeurs. Certains ont même eu la chance d’apercevoir M Delache et M Floriot faire de belles chutes.