CHALLENGE ENERGIE MIXTE

Mardi 17 mai a eu lieu la 4e édition du Challenge Énergie mixte, permettant à des collégiennes et lycéennes de la région de découvrir les métiers du secteur de l’énergie et encourager sa mixité.

Pour la troisième année consécutives le lycée Les Eucalyptus a participé à cet évènement, organisé par Groupe EDF et le Campus d’Excellence Industrie du futur Sud.
Ce concours vise à sensibiliser le public féminin aux métiers techniques de l’énergie, invitant leurs jeunes interlocutrices à réfléchir sur les stéréotypes, les enjeux de la mixité en entreprise… et à élargir leurs perspectives sur la question de l’orientation. Nos élèves ont restitué un projet sous format numérique, accompagnées d’une marraine du groupe Dalkia filière d’EDF, portant sur la question de la mixité et les énergies renouvelables, en mettant un accent sur celles développées dans notre région.

Selon une enquête de Pôle emploi, 13 % des demandeurs d’emplois dans le secteur de l’énergie sont des femmes contre 87 % d’hommes. Stéréotypes, manque d’informations… De nombreux freins se dressent pour engager les femmes à intégrer à tous les niveaux, les branches techniques. Cette année, après une journée à l’IUT d’Aix Marseille à la Ciotat, nos jeunes lycéennes ont pu découvrir des parcours de formations dans l’enseignement supérieur dédiés à la filière énergie, avec la visite du chantier école en radioprotection encadrée par les étudiants de la Licence pro, démonstrations en situations de travail, d’innovations techniques, atelier de réalité virtuelle, atelier sur la place des femmes dans le nucléaire par l’association WIN France…parcours des stands « métiers » du Groupe EDF (hydraulique, nucléaire, thermique, distribution, services énergétiques…).

Cette Journée a été clôturée par la remise de prix au cours de laquelle les jeunes filles ; Aya EL MOUCHE-ASSABAF, Sultana KESMY et
Clarisse MARTI, trois élèves de seconde générale, ont remporté le prix du digital.

Clarisse « En plus de la découverte des métiers, l’implication dans un projet collaboratif, j’ai pu expérimenter la prise de parole devant un jury, cela a été une belle expérience » . Ce témoignage prouve l’intérêt de participer à un tel évènement, liant à la fois un parcours d’orientation futur à des pratiques pédagogiques transversales.

Bravo pour l’investissement de nos élèves.

« Loin des hommes » : la petite histoire dans la grande Histoire !

Echanges riches et instructifs entre les élèves de la classe de seconde 1 et Pascal Génot, analyses fines aussi : « Film poignant qui joue sur les sentiments de chacun des personnages » (Tom) ; « L’incident déclencheur arrive exactement au moment du début de l’insurrection (1954) et Daru l’apprend par le journal que lui montre son ami…Dès le début du film « on » est plongé dans une atmosphère pesante » (Hedi) ; «On peut faire un saut dans le temps – fin de la guerre et indépendance de l’Algérie – on ne peut plus revenir sur le passé» (Maximilien).

Le titre «Loin des hommes» a beaucoup fait parler les élèves, évoquant «un désert seulement avec la compagnie de ses élèves» (Ludivine), mais aussi le «milieu de l’Atlas algérien» «coupé du monde» (Elae), «au milieu de nulle part, n’ayant rien aux alentours» (Remy).
« Ils sont loin de l’humanité car les hommes qu’ils rencontrent sont comme des animaux : soit des prédateurs, soit des proies » (Léna). « Les soldats ou d’autres personnages sont présentés comme des êtres cruels et donc dénués d’humanité. Ainsi, ils ne seraient pas comme des hommes » (Georges).
« Loin des hommes » car personne ne les accepte » (Paul) Cet éloignement « ne signifie pas uniquement la distance physique mais aussi la distance morale. Ici l’homme signifie l’humanité avec un grand « H », donc loin de toute forme d’humanité » (Hedi), « l’éloignement de la condition humaine avec la guerre » (Ethan C).
« Loin des hommes », c’est « une atmosphère de conflit, de guerre, la guerre d’Algérie entre 1954 et 1962 » (Georges), un contexte marqué par de « fortes tensions entre des militants indépendantistes et des soldats de l’armée française » (Thomas F.)

Là, deux hommes voient leurs destins liés : « Daru, instituteur, commandant militaire, courageux (et) Mohamed, travailleur dans le blé, poursuivi par sa famille » (Nassim). « Mohamed se laisse plus porter par le destin sans se battre, alors que Daru, lui, veut contrôler sa vie » (Ugo). « Daru est d’origine espagnole, c’est un homme froid mais qui aide tout de même les gens qui l’entourent. Mohamed est un homme peu bavard mais reconnaissant envers Daru » (Andréa). « Daru est un peu misanthrope, il préfère être seul dans ses montagnes et a l’air d’éprouver un certain dégoût de l’humanité » (Léna).
« Ces deux personnages principaux passent par un chemin « loin des hommes » : ce n’est pas le plus court ni le plus rapide mais ils le prennent pour éviter de croiser des « cousins » de Mohamed » (Nathan E). « La relation ténue entre les deux personnages qui sont des opposés est incroyable : une relation fraternelle s’est installée » (Aya).

Le passage préféré des élèves dans une grande majorité est le « moment de la séparation » car s’il « marque la fin de tous ces événements, il marque également le nouveau départ pour ses deux personnages principaux » (Eliasse). « C’est le moment où Daru exprime toute la compassion qu’il a pour son protégé Mohamed » (Léna). « Quand (Mohamed) fait le choix de continuer dans le désert et de ne pas se rendre – comme Daru le lui avait conseillé – c’est très émouvant et un petit suspense naît pour le spectateur » (Ludivine). « Tous deux se rencontrent alors qu’ils pensaient être seuls et se séparent alors qu’ils pensaient avoir brisé cette solitude » (Yassine).
« Loin des hommes », c’est aussi une « réalisation de film très réussie car il y a de moins en moins de films réalisés avec des décors naturels » (Elae). « Ces décors aident à l’immersion du spectateur » (Georges), « le fait qu’ils aient tourné les scènes en Algérie » (Nassim) ; « le désert d’Algérie, un désert dangereux où le temps est aléatoire » (Sofyen). « Ils se trouvent dans la chaine montagneuse de l’Atlas, ce qui donne de belles images » (Andréa). « Les décors sont magnifiques » (Aaron). « Les décors naturels rajoutent un sentiment de « vrai » et appuient encore sur le contexte historique, ce qui rend le film « plus vrai que nature » (Tom).

L’intervention de Pascal Génot, particulièrement bien documentée, a permis d’éclairer les aspects historiques bien sûr mais aussi les notions de philosophie morale et politique ainsi que les dimensions esthétiques et narratives choisies par David Oelhoffen : « le sens de certains gestes, de certaines scènes nous a été expliqué de façon claire et compréhensible » (Ludivine). « J’ai compris qu’il y avait deux fins : la première qui concerne Mohamed, avec son exil chez les nomades et la fin de Daru, qui arrête d’enseigner » (Ugo). « Pascal Génot nous a bien expliqué la fin qui était trouble car on ne savait pas quel était le sort de Mohamed, de se rendre ou de commencer une nouvelle vie » (Sofyen)
« Il m’a aussi permis de mieux comprendre les personnages et leurs choix » (Nathan E), « et rendre plus juste l’histoire autour de la colonisation par les Européens » (Hedi), « grâce aux différentes études menées à partir d’extraits, avec des commentaires de certains camarades, en observant les moments forts du film » (Eliasse).

En résumé, même si certains élèves auraient aimé plus d’action, le film a su les toucher : « C’est un film très marquant que j’ai beaucoup apprécié regarder ! » (Thomas F.), « une atmosphère remarquablement prenante » (Maximilien), « on s’attache aux personnages » (Paul), « j’ai bien aimé le film dans l’ensemble, surtout les scènes de guerre, un film très instructif » (Thomas A.). « Très beau graphiquement, de beaux décors et un bon son ! » (Loan).
Comme l’a conclu Pascal Génot « On perçoit toujours un objet artistique en ayant des horizons d’attente spectatoriels! ». Au-delà du ressenti esthétique, « Loin des hommes » nous enseigne la Mémoire… les mémoires qu’elles soient collectives ou individuelles, et nous permet de nous questionner nous-mêmes!

Lien interview

Univers médiatique et fake news : comment l’image peut-elle (nous) tromper ?

« Entre rumeurs, théories du complot, vidéos et photos sorties de leur contexte, les fake news pullulent chaque jour » (Association Fake Off). En spécialiste de l’information, Madame Pinaud, chargée de communication, a partagé, lors d’ateliers avec différentes classes du LGT, ce en quoi l’image pouvait induire en erreur, comment des rumeurs et fausses nouvelles étaient créées et surtout diffusées à large échelle pour devenir la plupart du temps virales et enfin quels outils existent et nous aident à être vigilants !

Se questionner sur les sources de l’information, sur les auteurs, de photos et d’images notamment, étant diffuser sur internet, via les réseaux sociaux la plupart du temps, a permis aux élèves de plusieurs classes de terminale et de la classe passerelle de prendre en compte certains travers et dérives actuels. Savoir distinguer les vraies informations des fausses est un enjeu essentiel pour tout citoyen, encore plus dans un contexte d’élections présidentielles.
Des exemples connus de détournement de l’image, appelés aussi deepfakes, ont pu inquiéter voire complètement déstabiliser des carrières artistiques, politiques…

Le pouvoir des images est particulièrement accentué aujourd’hui (cf. la notion de « société de l’image » reprise dans de nombreux médias), on peut « faire parler » certaines images, certaines photos en les retouchant par exemple ou d’après un cadrage, une perspective différents. C’est ce que Madame Pinaud a démontré lors des ateliers « Le Vrai du Faux » qu’elle a proposés aux élèves. On peut véritablement parler de mise en scène de l’information, un angle de prise de vue est un choix et peut signifier une analyse tout à fait diverse selon les personnes qui regardent. Dans ce nombre toujours plus grandissant de partages d’images ou de vidéos, la meilleure attitude reste de repérer l’auteur, de faire attention à la source…

Lors de ces interventions, les élèves ont rencontré, puis échangé avec une professionnelle de l’information, témoignant de ses propres expériences et n’hésitant pas à partager autour de sa pratique quotidienne du décryptage de l’information. Transmettre un usage du numérique responsable en 2022, tel est l’enjeu pour la formation de citoyens éclairés !

Espace et Temps au cinéma : l’Art à la rencontre des Sciences…

Le cinéma, langage interdisciplinaire par excellence, convoque un très grand nombre de champs scientifiques : la Physique, la Chimie, les Sciences cognitives, la Biologie, les Techniques et Sciences de l’ingénieur, les Sciences économiques et sociales, les Sciences humaines. L’art cinématographique n’existerait pas sans inventions et mises en œuvre techniques ni sans spectateurs capables d’observer, analyser, argumenter ou juste apprécier !

Les sciences et techniques ont souvent fait l’objet de sujets de films, biopics de figures scientifiques marquantes ou films de science-fiction. A l’inverse, la fiction (livres ou films) a elle aussi pu inspirer les scientifiques et ingénieurs pour de futures découvertes et inventions : S.Spielberg qui inspire de nouveau design de lunettes de réalité virtuelle dans Ready Player One ou I.Asimov qui développe l’idée du robot dès 1967 dans son recueil de nouvelles Les robots, pour ne citer que deux exemples. Le cinéma peut donc être à la fois un outil de vulgarisation scientifique, un outil de recherche ou encore un objet d’étude scientifique.

A partir de la projection du film documentaire de Luc Jacquet « La glace et le ciel », les élèves de la classe Passerelle ont ainsi pu découvrir le parcours exceptionnel de Claude Lorius, célèbre glaciologue et scientifique français. Il alertait déjà il y a plus de 40 ans sur l’impact de l’homme sur la Nature, dans le temps que l’on a depuis appelé l’Antrhopocène, « nous avons sonné l’alerte en sondant les bulles d’air prisonnières des glaces de l’Antarctique et montré que l’histoire du climat était liée aux activités de l’homme » C.Lorius. « L’un des premiers scientifiques à avoir parlé de réchauffement climatique ! » Christophe. « Ce que je retiendrai de ce film et du parcours de C.Lorius, ce sont les difficultés et les risques entrepris ! » Eliot. Mais était également abordée en débat la question des procédés techniques qui permirent la réalisation des images et films d’archives relatant les exploits de ces véritables aventuriers, restant vivre plusieurs mois dans le froid polaire de l’Antarctique et menant à bien toutes leurs expérimentations permettant d’immenses avancées scientifiques. La science et l’image étaient ainsi historiquement liées !

Dans le cadre de l’atelier proposé par Pascal Génot et spécialement conçu pour nos élèves de seconde à profil scientifique, deux axes ont été abordés. En s’appuyant sur de nombreux extraits de films, les notions « du plan au montage » et « mouvement et rythme » étaient décrites et détaillées : l’image en mouvement, la notion d’espace/temps, la vitesse de l’image, le format et le cadre ainsi que l’invention du montage mais aussi le mouvement dans le plan et le rythme en tant que tel. L’analyse de l’un des plus anciens films du patrimoine cinématographique mondial : « L’entrée en gare de La Ciotat » réalisé par les Frères Lumière en 1896 a particulièrement passionné les élèves ! Pascal Génot a également fait référence au langage cinématographique, à l’origine scientifique et technique : la notion de cadre / portion de l’espace infini réel ; le champ/personnages ou objets se déplaçant dans le cadre ; le hors-champ/ce qu’on ne voit pas dans le cadre ; le plan/plus petite unité physique dans la réalisation d’un film ; la prise de vue/ce qui est filmé…

Autant de connaissances transversales qui auront enrichi le bagage culturel des élèves et qui leur servira sans aucun doute quel que soit leur projet d’étude à venir. N’oublions pas que les réalisateurs ont souvent été visionnaires ou du moins précurseurs des progrès de la science donc de la société humaine… « Le cinéma est pour moi un art tridimensionnel, avec ma caméra, j’ai le sentiment de sculpter l’espace et le temps ! » D.Cronenberg

Dans l’univers électroacoustique avec Merakhaazan !

Dans le cadre de l’enseignement de Culture générale, Madame Blanchot a conçu un atelier pédagogique pour que les deux années de BTS ELT partagent plusieurs séances avec Merakhaazan : parcours, compositions, techniques. Le thème BTS « De la musique avant toute chose ? », reprenant un vers de Paul Verlaine, aura particulièrement bien été illustré lors des échanges et durant tout l’atelier !

Après une introduction musicale, Merakhaazan a présenté aux étudiants son parcours, ses procédés de création, l’évolution technique dans son jeu, beaucoup de questions ont émergé ensuite : « Est-ce que vous pouvez tout jouer ? Jules « Pas tout à fait mais il est vrai que j’expérimente beaucoup de styles » Merakhaazan ; « Comment faites-vous pour créer un morceau ? » Lounis « Il m’arrive de composer à ma table mais la plupart du temps je cherche sur la contrebasse, je « gratouille », je laisse aller mes sensations et j’essaie de bien répartir les sons trouvés dans le spectre, du grave à l’aigu en général. Ma marque de fabrique ce sont plutôt des morceaux mélancoliques ! » Merakhaazan.

A la question de Killian « Pourquoi avoir choisi la contrebasse ? » Merakhaazan a beaucoup développé, faisant ressentir sa passion à l’auditoire « Je suis pas mal autodidacte même si j’ai fait le Conservatoire et j’ai surtout « flashé » sur l’instrument même si j’avais commencé à apprendre à jouer sur une basse électrique. Ce que j’ai aimé c’est le son, les sons que la contrebasse donne, le contact des cordes aussi…J’expérimente beaucoup avec l’instrument : je crée des sons en caisse claire, je me sers du bois, je crée d’autres sons « les cordes au doigt », jouer avec l’archet mais aussi avec un médium de guitare, je peux vraiment créer une gamme infinie de sons, cet instrument est illimité. Rif funk, solo rock, beat rap, gimmick pop ou mélopées orientales, cela m’amuse de trouver des solutions pour arriver à ce que je veux entendre ! » Merakhaazan

Les questions plus techniques ont ensuite été évoquées, les étudiants particulièrement intéressés par toute l’installation électrique autonome et le matériel utilisé par Merakhaazan « J’utilise un « looper », cela me permet d’enregistrer des sons au fur et à mesure et de créer des « boucles », ça retranscrit les fonctions d’autres instruments. Récemment, on m’a fabriqué une pédale ampli sur mesure et qui sera customisée spécialement pour moi dans l’esprit Dune !!! » Les échanges entre connaisseurs d’électrotechnique se poursuivent, conseils en installations non dépendantes et questionnements sur la transition énergétique…

Les deux ateliers suivants se sont déclinés en plusieurs activités : les étudiants, ayant en amont réfléchi avec leur enseignante, sont encouragés à venir avec une image, un extrait de film, un texte les inspirant. Merakhaazan à partir de ces choix lui étant soumis et expliqués, improvise totalement et en direct. Puis ce fut au tour de Merakhaazan d’improviser en fonction de son ressenti du jour, plusieurs morceaux joués au fur et à mesure desquels les étudiants exprimaient leurs émotions, leurs impressions…

Après quelques échanges autour des goûts musicaux de chacun, une question restait cependant en suspens : « Arrivez-vous à vivre de votre art ? » Evan « Oui, j’ai de la chance, je travaille souvent en collaboration, « Clameurs » avec Sarah Procissi, joueuse de Oud électrique, des compagnies de théâtre, des chorégraphes font aussi appel à moi. Je fais des concerts, récemment j’ai vécu un moment exceptionnel à l’occasion de C pas classique, j’ai joué avec l’Ensemble Baroque de Nice. Je ne suis pas riche, si c’est ça que tu veux dire, mais ce qui me motive, c’est le sentiment de faire ce qui me plaît, d’être heureux en faisant de la musique ! » Belle morale, message optimiste et qui peut donner envie de réaliser ses rêves…

L’atelier vu par les étudiants

« Le thème imposé en culture générale est le thème de la musique. J’ai trouvé ça très ludique et très interactif de l’aborder par des cours de musique » (Evan). « Ça nous a sortis de notre culture musicale » (Enzo). « Cela nous a permis d’apprendre plein de choses que nous ne connaissions pas mais aussi d’ouvrir notre panel de genres musicaux » (Evan). « La première séance de présentation était pleine d’informations nouvelles et a permis d’enrichir ma culture personnelle » (Martin). « Ces séances avec le contrebassiste ont été une façon d’illustrer le thème différemment, et cela était vraiment sympathique » (Mathieu). « Ces séances m’ont permis de mieux comprendre les émotions que la musique peut transmettre » (Romain).

« Avant notre rencontre, je pensais que la contrebasse servait uniquement à accompagner les musiques » (Hugo). « Le musicien utilisait la contrebasse de manière atypique. Une façon que je n’avais jamais entendue » (Ludovic). « J’ai aussi particulièrement apprécié son approche non « traditionnelle », malgré qu’il ait fait le conservatoire, son approche plus populaire et la multitude de styles différents maîtrisés » (Jules). « Les percussions, les pédales d’effets et la pédale de boucle lui permettent de créer des musiques complètes en étant seul » (Hector), « un orchestre avec un seul instrument ! » Son style de jeu rappelle l’Orient et l’Asie, mais il peut nous faire ressentir des ambiances telles que la guerre, les batailles maritimes ou même le désert » (Charles).

« Cette contrebasse a plusieurs « modes » avec le fameux mode électro auquel je ne m’attendais pas du tout, me faisant penser à la guitare électrique » (Karim). « Je ne savais pas qu’une contrebasse pouvait jouer des sons d’autres instruments » (Dylan). « […] ma plus grande impression porte sur la conception de l’instrument qui aborde en grande partie l’électronique de puissance et un mécanisme particulier de par sa modélisation » (Mouhamadou). « J’ai trouvé ça intéressant quand on a parlé d’autonomie énergétique » (Guillaume), « de comprendre le fonctionnement de son instrument et l’électronique autour » (Florian). « J’ai découvert tout un monde autour du hardware musical (le côté technique, les remarques à ce sujet, le matériel) » (Kylian C.).

« Ce que j’ai préféré, ce sont ses improvisations sur nos images » (Jules). « J’ai beaucoup aimé l’activité où l’on devait décrire ce à quoi nous faisait penser le morceau, surtout le premier qui m’a vraiment donné l’impression d’un voyage dans des paysages magnifiques et parfois inquiétants » (Lilian). « En fonction des mélodies, j’avais l’impression qu’une partie posait une question et que l’autre répondait » (Dylan).

Pour l’ultime rencontre, Merakhaazan proposa une performance musicale destinée aux deux groupes classes réunis ainsi qu’à leurs enseignants. « Nous remercions particulièrement Monsieur Ambroggi qui grâce à ses photos nous permet de garder une belle trace de cette expérience. »
Un immense MERCI à Jean-Christophe Bournine pour ce moment unique de partage ! « Je trouve que le musicien est un excellent artiste » (Serhat). « On sentait qu’il ressentait sa musique » (Mathys). « Un grand merci à lui et bonne chance pour ses projets dans l’avenir » (Lucas). « Merci pour ces découvertes !» (Hugo).

Le cinéma de Pierre Salvadori ou comment réinventer les histoires !

Impressions de la 2de2

« Le film met en scène Yvonne, jeune inspectrice de police, qui découvre que son mari, le capitaine Jean Santi, héros local tombé au combat, n’était pas le flic courageux et intègre qu’elle croyait mais un véritable ripou. Elle doit néanmoins entretenir la mémoire d’un bon père auprès de son fils Théo. Elle doit aussi compter avec Louis, son collègue amoureux d’elle et ancien partenaire de Jean. Déterminée à réparer les torts commis par son époux, elle va croiser le chemin d’Antoine injustement incarcéré par Santi pendant huit longues années. Antoine retrouve sa femme Agnès et sa vie d’avant… en apparence seulement car il est bien décidé à devenir le délinquant qu’il avait été accusé injustement d’être ! C’est ainsi que « l’histoire est à la fois originale et ordinaire » (Enzo).

Les situations sont cocasses, « plusieurs quiproquos sont vraiment drôles » (Samira). Certaines scènes sont absurdes, « illogiques » (Cyril). « Le comique de répétition est drôle aussi. On peut prendre pour exemple les scènes où Yvonne raconte l’histoire de son père à Théo, en déformant l’histoire à chaque fois et en la rendant grotesque » (Dorian). Renato et Lucas ont bien noté et apprécié « l’humour décalé » qui traverse le film.

Néanmoins, dans l’absurdité des situations, nous retrouvons des personnages ordinaires ou avec des profils plus ou moins convenus : fonctionnaires de police, inspecteur corrompu, faux coupable. « Ils sont dans des cases au début du film » (Jonathan). Et ils se retrouvent aux prises avec des événements qui les dépassent. A leur façon, ils essaient de réagir « avec une certaine conscience du bien et du mal, parfois contraire aux normes de la société. Ils sont ce que nous pouvons être chaque jour, ils nous amènent à réfléchir sur nous-mêmes » (Valentin). Leur marge de manœuvre, leurs réactions, s’exercent « en liberté », en dehors de cadres légaux ou conventionnels.
Ainsi, le « mélange des émotions », revendiqué par Pierre Salvadori pour son œuvre, n’a pas échappé aux élèves. « J’ai aimé ce film car il y avait toutes sortes de scènes, émouvantes, drôles, tristes, joyeuses » (Manon). Le rire, l’injustice, le bien et le mal, mais aussi l’amour : sentiment amoureux et amour filial. C’est ce dernier qui semble le plus avoir ému nos élèves. Son évidence et sa banalité sont magnifiées dans le film à travers la mémoire de Jean Santi chez son fils Théo. « J’ai aimé les histoires racontées par la mère à l’enfant » (Tristan). « Le film veut donner un message fort et émouvant sur les histoires de famille » (Alexis).

Lorsque Yvonne apprend la vérité sur son mari, « elle essaye de retirer l’admiration du fils pour son père, ce n’est pas très juste » Rihem rejoint là le réalisateur : « Cette histoire m’est venue parce qu’un jour ma mère m’a dit : « je vous ai toujours décrit votre père comme un héros dans le soleil couchant, mais c’est aussi un homme compliqué. » Je l’ai arrêtée immédiatement, car je ne voulais pas savoir la suite ! »

Ainsi, Pierre Salvadori a donc remporté son pari auprès de nos élèves. « Ce film a réussi à faire de sujets assez graves un film comique, amusant » (Romain). Ceux-ci ont bien saisi que « le sujet du film, c’est l’importance des histoires dans nos vies, l’importance de la fiction, des récits, de la poésie. La fiction nous sert à raconter à nos enfants d’où l’on vient et à perpétuer une légende familiale plus ou moins réelle. » Elle sert aussi la folie incroyable qui résulte du sentiment d’être totalement « En liberté ! », par rapport aux lois ou aux conventions sociales. »

Impressions de la 2de1

« Quelle attitude adopter lorsque l’on est accusé à tort et que cette accusation a volé huit ans de votre vie ? Cette question posée en filigrane de l’excellent film « En Liberté ! » de Pierre Salvadori a beaucoup interrogé les élèves de 2de1.

Antoine Parent (Pio Marmaï), honnête joaillier, voit sa vie basculer lorsqu’on le reconnait coupable du braquage de la bijouterie dans laquelle il travaille. A sa sortie de prison, il n’est plus le même, « le fait d’être accusé d’un crime qu’il n’a pas commis va lui faire faire ses crimes » (Max). « Ses réactions finissent par correspondre aux paroles des policiers » (Georges). « Le film montre à quel point une fausse accusation peut détruire la vie de certaines personnes (…) l’accusé, alors « coupable », se fait tellement convaincre par son accusation que lui-même y croit et devient ce qu’on l’accuse d’être, à tort » (David). « Antoine est donc prisonnier de son sentiment de culpabilité » (Eliasse). Il reçoit paradoxalement une aide d’Yvonne (Adèle Haenel), la veuve de Jean Santi (Vincent Elbaz), le policier véreux qui l’a fait incarcérer pour profiter des fruits du larcin. Yvonne – elle-même policière – entreprend de réparer les torts de son mari en couvrant les exactions d’Antoine. Se crée alors « une sorte de triangle amoureux pour Yvonne, en ayant de la peine pour (lui), l’encourageant à continuer de faire des crimes » (Georges). Plus Antoine monte dans l’estime d’Yvonne, plus son défunt mari se dégrade, à l’image de l’histoire du soir qu’elle raconte à son garçon et qui subit les détériorations dues à sa colère et rancœur. « Yvonne crée un film elle-même grâce à son imagination pour montrer la vraie nature de son mari à son fils » (Sultana), « plus elle découvre qui était réellement Jean, plus elle raconte une histoire où il se blesse, ne se défend pas » (Léna). « Les changements dans l’histoire peuvent être comparés au scénariste cherchant de nouvelles idées » (Wylan). « Le film était donc fait autour de ce mini-film, c’est une sorte de mise en abyme : le public regarde le film expliquant le film » (Léna), « on a le sentiment d’un double film, d’un film parallèle au film » (Ludivine).

Mise en abyme, « double film » et même triple film, si l’on en croit David : « les personnages vivent tous leur petit film, Yvonne en essayant de « sauver » Antoine, le fils d’Yvonne avec les histoires de son père, et Antoine, avec ce qu’on pourrait caractériser de « combat contre la vie » ».
Mais il n’y a pas que les acteurs, à l’intérieur de la fiction, qui se fassent leur histoire, le spectateur n’est pas en reste : « l’intérêt de ce film est de reconstituer les pièces du puzzle pour (vous) faire votre propre film, qui vous appartient et qui permet de vous identifier et de vous poser certaines questions existentielles sur vous et votre entourage » (Max).

C’est à chacun, en effet, de se forger un avis. « A la fin du film, nous voyons le fils d’Yvonne, rêver en bien de son père, malgré toutes les accusations qu’il a subies. Cela pourrait montrer que peu importe les choses dites sur vous, seules les plus brillantes peuvent vous faire briller dans les yeux des gens ! » (Thomas). »

A écouter, le podcast du débat autour du film animé par Aya, Paul, Tom !

Le mot de la fin à Adrien Dénouette, critique cinéma : « Dans l’inconscient collectif, les pères sont définis par l’absence ; ce sont les mères qui racontent les histoires…elles font l’Histoire ! »

La compagnie Artvivace présente, GUINGUETTE CHIC à l’atelier

Un clip musical avec les élèves de 2nde REMI 2 du Lycée Technique Les Eucalyptus à Nice, créé lors d’ un projet de prévention contre le décrochage scolaire.

PRÉSENTATION

Les élèves ont interprété et participé à la mise en scène et à la réalisation du clip musical. Ils ont ainsi découvert la pratique de plusieurs langages artistiques (musique, danse, voix, chorégraphie, écriture). Cette oeuvre dans son modèle de construction, comme dans son propos, défend poétiquement les notions du positif, de l’encouragement, de l’esthétique, du groupe social et de la vie.
La Compagnie Artvivace a réalisé cette activité de partage autour d’une expérience de création, interprétation et réalisation d’un clip musical à destination d’élèves du Lycée Les Eucalyptus (Nice) en risque de décrochage scolaire. Le projet a duré 17 heures, réparties en 3 sessions, il s’est déroulé au Lycée des Eucalyptus à Nice les 24, 25 et 26 novembre 2021.

Les intervenants de la compagnie sont : Cédric Gonnet, Direction, auteur-compositeur et chorégraphe, Marie Lune (Audrey Laure Drissens), metteuse en scène, Hanna Cohen, Anthropologue, psychologue clinicienne et psychothérapeute, assistante à la création et Julien Sanine, vidéaste et photographe.

 

JEUX DE MAINS, JEUX D’USINEUR. QUAND L’OEUVRE CRÉE LE LIEN SOCIAL

par Hanna COHEN

Deux ans après le début de la crise sanitaire du COVID-19, les adolescents éprouvent encore les retentissements d’une pandémie aux allures de guerre mondiale. Si pour ces adultes en devenir, l’enjeu principal se fonde dans le lien social, on peut s’interroger sur l’impact de mesures
gouvernementales telles que les restrictions de déplacement, l’interdiction de rassemblement, l’obligation du port du masque et des gestes barrières, notamment.

Force est de constater que les cours en visio, l’isolement chez les jeunes et plus particulièrement la mise à distance d’avec leurs pairs ont altéré le lien social comme les modes de communication eux-mêmes. Au-delà des réseaux sociaux qui permettent essentiellement aux adolescents d’exister librement, le recours aux écrans devient de nos jours le seul remède contre les affres de la solitude où règne l’illusion du lien à l’autre.

Au sein d’une société occidentale qui prône l’ultra-connexion et le consumérisme, la profusion d’images préfabriquées génère un idéal dans une société vide de sens ; société dans laquelle les individus trop peu socialisés cultivent l’hyper-individualisme. Mais dans cet univers où l’individu peut apparaître à la lumière des écrans, influencer par des « likes » grâce à ses « followers », quid de la rencontre ; de l’interaction vivante, celle qui permet l’authentique relation à l’autre, dans laquelle l’identité se fonde ?

Et si une démarche collective artistique avait une vocation de lien social ?

L’expérience de co-création d’une oeuvre (clip musical) par une classe de lycéens (classe de seconde Technicien d’Usinage – Lycée Les Eucalyptus à Nice) auprès d’une troupe d’artistes (Compagnie Artvivace – Les P’tites Ouvreuses) a permis de fabriquer un objet qui s’est inscrit dans une communauté de sens, conduisant ainsi à une oeuvre didactique. L’action artistique et culturelle impliquait un engagement des jeunes dans un espace de créativité (la salle des machines) autour notamment de jeux de mains ; jeux d’usineurs faisant liens et oeuvre. L’adolescent était invité à une démarche d’expérimentation et d’autonomisation dans laquelle il était libre de ses choix en tant qu’acteur à part entière, au coeur d’un projet qui lui a conféré une place singulière. La valorisation de sa participation ainsi que l’inscription du clip musical en tant qu’oeuvre permanente dans le temps et l’espace ont participé aux enjeux fondamentaux du lien social.

GUINGUETTE CHIC à l’atelier :

CRÉDITS

Avec : Isabella, Edmilson, Romain, Téo, Nicolas T, Nicolas L, Gino, Luka, Antonino, Rayan,Léonard, Sammy, Maedyn, Ottaviano, Rijad, Sofiane, Déni, Emmanuel, Mohamed.

Direction et création : Marie Lune et Cédric Gonnet assistés d’Hanna Cohen

Prises de vues : Julien Sanine

Sur la chanson : « Guinguette Chic » (C.Gonnet / C.Gonnet-S.Bouland) interprétée par groupe Les P’tites Ouvreuses (Artvivace).
Lien de téléchargement : https://imusiciandigital.lnk.to/Mewl8

Coordination : GIP FIPAN, Pôle Europe & International , Christophe Méssinéo et Lycée des Eucalyptus, Séverine Lotto (Proviseur adjointe), Didier Bertin (CPE), Richard Gavois.

Les photos de documentation réalisées par Hanna Cohen et les élèves et par Julien Sanine.

Production de l’oeuvre et du projet : compagnie Artvivace (Nice-France), tous droits réservés.

Partenaires de la compagnie : le Ministère de la Culture, la Région PACA, le Département des Alpes Maritimes et la Ville de Nice

 

 

 

 

Le procès de Jean-Baptiste Grenouille revisité !

Mardi 11 Janvier dernier, les élèves de la classe de 2de1 se sont prêtés au jeu du procès littéraire posthume de Jean-Baptiste Grenouille, « héros » meurtrier mais non moins génial du célèbre roman Le Parfum de Patrick Süskind.

Après des semaines de préparation, d’études analytiques de l’œuvre mais aussi de recherches documentaires sur les tribunaux de France et d’Amérique, tous les élèves de la classe ont investi leurs rôles : avocats de l’accusation, de la défense, témoins, greffier, procureur, jurés et juges, médecins légistes, psychologue, et jusqu’aux dessinateurs, avec un plaisir évident : «J’ai beaucoup aimé cette atmosphère ludique et conviviale et tout le monde était utile» (Georges), «l’investissement de certains était remarquable et a donné un intérêt ainsi qu’une vitalité au procès» (Léna), «on sentait que les élèves étaient impliqués et avaient une volonté de bien faire» (Ludivine).

Au-delà de ces retours enthousiastes, les enjeux didactiques étaient bien présents : «Ce procès m’a permis de prêter d’autant plus d’attention aux détails du livre» (Paul), «d’aborder l’histoire de Jean-Baptiste Grenouille sous un autre angle, et a confirmé l’avis que je me faisais de sa culpabilité» (Ethan).
Eclairer l’œuvre donc, mais aussi faciliter le passage à l’oral : «J’ai beaucoup aimé prendre la parole, montrer mes idées et essayer d’en débattre» (Eliasse), «une très bonne manière d’évaluer l’argumentation, nos connaissances sur le livre et notre oral» (Georges).

L’expérience n’a pas été exempte de surprise, de revirement : «Les témoignages qui auraient dû être pour la culpabilité de Grenouille sont devenus le contraire!» (Sultana), «retournement de situation inattendue avant d’annoncer notre verdict, en compagnie de notre invité surprise!» (Thomas).

Les élèves sont in fine ressortis grandis de ce procès mené tambour battant, «pas de moment de repos ! Beaucoup de paroles et d’arguments échangés» (Aya), «très enrichissant d’un point de vue personnel et humain» (Tom), «je pense que l’on peut tous être fiers de nous» (Max), «ce procès était plus intéressant et plus amusant que de regarder des séries sur Netflix (alors que j’adore ça !)» (Hedi)… Et un grand merci à Serhat pour sa participation amicale !

Un grand merci à M André Ambroggi pour les prises de vue.

Retrouvez le rapport du greffier

Une de nos élèves « élue » lors de la sélection départementale des olympiades de chimie

Le mercredi 19 janvier ont eu lieu les sélections départementales des olympiades de chimie, au lycée Thierry Maulnier.

3 de nos élèves, Ambre Cauli (TG2), Bastien Frard (TG2) et Carla Dridi (TG1) ont été sélectionnés, parmi les 18 candidats du lycée Les Eucalyptus, au terme d’une épreuve écrite qui avait eu lieu la semaine précédente au lycée.

Ambre Cauli défendra ses chances face à 4 autres candidats des Alpes maritimes et 2 du Var, pour la sélection régionale, le mercredi 6 avril au château du Campus Valrose, afin de représenter les couleurs de notre région lors de la finale nationale à Paris en mai prochain.

Nous lui souhaitons de tout cœur le succès qu’elle mérite!

Journée Porte Ouverte 2022

Invitation à la matinée Portes Ouvertes du lycée LES EUCALYPTUS
Samedi 26 février 2022

Sous réserve du maintien des conditions sanitaires actuelles.
(Dans le cas contraire des postes ouvertes virtuelles seront organisées en soirée courant février. Les dates seront affichées ici).

Nous vous invitons à venir découvrir l’offre de formation du campus LES EUCALYPTUS lors de la matinée Portes ouvertes.
Près de 200 professeurs, personnels administratifs et personnels de vie scolaire, plus d’une centaine d’élèves et étudiants sont mobilisés pour vous accueillir et vous accompagner dans leur environnement de travail.

Nous vous proposons divers parcours en fonction de vos centres d’intérêt :

Vous êtes collégiens ? Un circuit guidé vous permettra de découvrir notre offre en classe de seconde générale et technologique et notamment les différentes options proposées. Vous pourrez également vous projeter vers la voie générale et vous familiariser avec les spécialités scientifiques de première et de terminale. Nous vous invitons aussi à explorer la voie Sciences et Technologies de l’Industrie et de Développement Durable (STI2D) qui constitue une des spécificités de notre structure.

Vous êtes collégiens et vous projetez de poursuivre vos études vers un Bac Professionnel ou un CAP ? Excellent choix ! Nous vous proposons différentes formations déclinées dans trois secteurs : la conception et la production, l’électricité et l’électronique, les métiers de l’automobile. Vous visiterez nos ateliers, riches de nouvelles technologies. Nos élèves et nos professeurs vous feront partager leur passion et leurs savoir-faire. Vous aurez l’occasion de voir fonctionner des imprimantes 3D, des machines à électrolyse, d’observer des robots qui obéissent à nos élèves, de manipuler des logiciels créés par nos lycéens de MELEC, ou encore de contempler des véhicules d’exception, exposés pour vous, à l’occasion de cette manifestation. Au cours de votre parcours au Lycée Professionnel nos élèves de CAP et BAC PRO carrossiers ne manqueront pas de vous présenter leurs dernières créations de grande qualité.
En fin de visite vous pourrez aussi vous inscrire pour effectuer un mini stage durant le 2ème trimestre.

Vous êtes lycéens ? Venez découvrir nos Classes Préparatoires aux Grandes Ecoles !
PCSI – PSI, PTSI – PT – PT*… Un accueil personnalisé vous attend. Vous pourrez échanger avec les professeurs et les étudiants qui vous feront découvrir quelques-uns de leurs travaux d’initiative personnelle encadrés (TIPE).
Vous êtes intéressés par une formation de Brevet de Technicien Supérieur du domaine industriel ? Nous vous offrons une palette riche et variée de cinq BTS dont certains sont aussi proposés par la voie de l’alternance, en contrat d’apprentissage.
Vous êtes adultes, et vous envisagez une nouvelle orientation professionnelle ? Le lycée LES EUCALYTPUS est le siège du GRETA COTE D’AZUR. L’équipe des Conseillers en Formation Continue sera à votre disposition pour échanger avec vous sur les possibles formations et vous renseignera entre autres, sur la façon de mobiliser votre Compte Personnel de Formation.
Alors, rendez-vous le 26 février prochain à partir de 8h30 au lycée LES EUCALYPTUS !
Attention, prenez vos dispositions car les derniers circuits de visite finissent à 11h 30…