Le groupe du collège DUFY était constitué de 18 élèves et deux accompagnateurs : Monsieur CUNY et Monsieur FERRARI.
Le groupe du lycée LES EUCALYPTUS était constitué de 18 élèves et deux accompagnateurs : Monsieur MOISE et Monsieur GALLIANO.
L’autocar de la société TACAVL a été d’une remarquable ponctualité et le groupe est arrivé à 14h, heure prévue à l’entrée de la base où il a été immédiatement pris en charge par deux « maréchal des logis » qui nous ont accompagnés pendant toute la visite.
La visite a eu lieu en deux temps : Les infrastructures de la base et Les hélicoptères de
l’école franco allemande (EFA).
I ) Les infrastructures
Quatre groupes comprenant chacun 9 élèves et un accompagnateur ont été constitués.
Chaque groupe a pu visiter successivement :
• L’unité de pompiers militaires.
• La salle de météorologie où sont élaborées à partir de données fournies par Météofrance les prévisions météorologiques.
• Le bureau d’Information Aéronautique où sont préparés les vols.
• La tour de contrôle, où les élèves ont pu voir la salle d’opération au sommet de la tour et la salle de contrôle.
Les élèves ont été particulièrement intéressés par tous les aspects et ont posé un grand nombre de questions, notamment sur les parcours à suivre pour devenir météorologiste, mécanicien, contrôleur, pilote…
II) Les hélicoptères de l’EFA
L’école franco allemande, dont la
création, décidée au plus haut niveau politique en 1989, a été réalisée en 2003. Placée sous commandement franco-allemand, elle comporte un établissement en Allemagne qui forme les mécaniciens et un établissement au Cannet des Maures qui forme les pilotes d’hélicoptère.
Les élèves ont pu voir les hélicoptères de combat de type Tigre et de transport Caïman.
La présentation a eu lieu en deux temps : La salle de simulation où les futurs pilotes se familiarisent avec les équipements de vol des machines, puis l’hélicoptère Tigre, dans lequel ont pu prendre place quelques élèves.
La visite s’est poursuivie par une présentation du simulateur de vol de type 3D du Caïman puis par une présentation de l’hélicoptère, pilotée par des officiers de la base et par la responsable communication de l’école.
Autour du Caïman présenté par un officier de l’ALAT
Avec quelques minutes de retard, nous avons quitté la base vers 17h15. Beaucoup de questions vont sans doute venir à l’esprit de nos élèves qui ont été invités à l’opération portes ouvertes qui aura lieu sur la base les 28 et 29 juin 2014.
Il nous faut remercier tous les acteurs qui ont permis de réaliser cette visite :
• Le chef de bataillon GARDIN sans qui la visite n’aurait pu avoir lieu, ainsi que tous les personnels de la base qui ont été en permanence à l’écoute des élèves.
• Les chefs d’établissements et les administrations du collège Raoul DUFY et du Lycée LES EUCALYPTUS qui ont encouragé le projet.
• Les élèves qui ont eu une attitude très constructive durant toute la visite.
Le retour au lycée a eu lieu vers 18h40. Le service rendu par l’autocar TACAVL a été exemplaire, malgré le retard pris sur le trajet retour.


Je m’appelle Corentin BAILET, j’ai 15 ans et je pratique de la lutte depuis mes 5 ans. Je suis en seconde au lycée des Eucalyptus de Nice.
Lutte pour participer au projet Wrestling Around The World. Ce sont 15 lutteurs de 15 à 17 ans qui ont été choisis pour partir faire le tour du monde et promouvoir la Lutte Olympique à travers différents pays (Grèce, Turquie, Bulgarie, Japon, Sénégal, États Unis…).
Pour accompagner les candidats au bac 2014 et faciliter leurs révisions, le ministère a mis en ligne un espace web dédié : « Bac 2014 : nos conseils pour bien se préparer ! »
des conseils pratiques en vidéos et en images,
« Je ne sais si le droit a un cœur, ou si le cœur aura un jour sa place dans le droit »
début.
Le « hourra » est de nos élèves. Quelle ne fut pas la satisfaction de Madame Jullien et la mienne d’entendre ces cris de joie sortis « droit du cœur ».
Mercredi 16 Avril, il est 8h, les élèves de seconde 2 et de seconde 5 attendent impatiemment devant la salle polyvalente du Lycée Les Eucalyptus, Nahed Badawia arrive. Tous s’installent, la journaliste syrienne prend la parole : « Bonjour à tous, merci d’être venus, je suis ici aujourd’hui pour vous parler de mon pays, ainsi que des problèmes pour les journalistes comme moi en ce moment. ».
documentalistes, les lycéens ont réalisé un important travail de recherche sur la Syrie, afin de pouvoir poser les bonnes questions, aidant ainsi la journaliste à mieux se dévoiler.
Plusieurs sujets s’enchaînent ensuite : « Les réseaux sociaux vous aident-ils à communiquer ? » « Etes-vous restée en contact avec d’autres journalistes syriens ? » « Retourneriez-vous en Syrie si des couloirs sécurisés étaient créés pour les journalistes et les convois humanitaires? », « Pourquoi être venue en France ? ».
Madame Badawia a décidé elle aussi de poser une question à un élève : « quelle est votre opinion de la Syrie? ». L’élève en question, d’origine arménienne, a répondu qu’ayant des connaissances qui ont vécu dans ce pays, malgré la guerre et grâce à la solidarité des habitants, il y fait bon vivre entre communautés. Ceci a semblé toucher la journaliste.
Le 9 mai 2014, le lycée Les Eucalyptus s’associe aux commémorations qui accompagnent le 70e anniversaire des débarquements de Normandie et de Provence. Les formations qu’il propose, dans les domaines scientifique, technique et industriel, permettent d’apporter une dimension concrète et matérielle à cet indispensable travail de mémoire.
véhicules et uniformes de la Seconde Guerre Mondiale, habituée des commémorations et rassemblements liés à cet événement.
soucieux de partager leur passion, leur savoir, et de perpétuer la mémoire nationale et européenne.
Attirer, intégrer, développer, fidéliser les talents sur Sophia Antipolis
60 minutes, 60 élèves, 30 questions : un journaliste de BFM TV face à deux classes de seconde. Défi brillamment relevé pour tous !
et en allant à l’essentiel. » (Etienne Sintès, 2e2)
Un métier connecté
pas assez rentable pour le journal. » (Marwa Gharbi, 2e2)
L’écrivain Didier Van Cauwelaert publié depuis plus de trente ans, Goncourt 1994 pour un Aller simple ,adapté au théâtre et au cinéma ,est venu vendredi 21 février à la rencontre des élèves de seconde et de terminale du lycée professionnel dans le cadre du dispositif « lecture pour tous ».
amont par les élèves de 2CAR et 2MVA1sous la tutelle de leur professeur de français respectif.
Parmi les nombreuses questions d’ Alexis, Quentin, Joël et d’autres élèves, Kléber donne à l’ entretien sa tonalité dominante évoquant la vocation de l’écrivain à travers une interrogation percutante: » D’où vous est venue votre passion pour l’écriture? »
vocation venue dès l’âge de huit ans, la consécration fugace du Goncourt où l’ enjeu consiste à toujours se renouveler pour espérer conquérir des terres inconnues, de nouveaux lecteurs.
Sur cette partition en mouvement constant, le quotidien, les expériences, le partage des différents vécus avec ses lecteurs notamment, sont matière à nourrir l’ écrivain qui les absorbe, les transforme, les livre et les délivre avec la « délectation glorieuse de la grâce. »
Un film, mais pourquoi faire?