C’est le vendredi 21 novembre 2014 que le journaliste, correspondant local de la chaîne nationale BFM TV, nous a rendu visite et a répondu avec beaucoup d’amabilité et de disponibilité aux questions préparées par les classes de 2 BP MVA 1 de Madame Demana et les T TOTU de Madame Bouachir.
1ère étape : la préparation des questions
Celles-ci étaient regroupées autour de trois grands thèmes :
- L’accès au métier
- Le travail au quotidien
- Les risques et les difficultés de la profession
2ème étape : les réponses du journaliste
Tout d’abord, c’est un métier qui exige de la passion et qui doit être pris comme une vocation. Adolescent, Benoit Ruiz s’amusait avec ses copains à interviewer, à enregistrer sur des cassettes (le moyen moderne de l’époque) ces pseudo-reportages.
Une école de journalisme a naturellement suivi et, depuis 15 ans, il a cherché sans relâche à « faire » sa place : parcours difficile au début, le travail à la pige, un passage par un grand nombre de chaînes jusqu’à devenir le correspondant local de BFM TV pour du « direct ».
Ses journées se ressemblent toutes : il les commence en écoutant la Radio (RTL, Europe 1, France Inter…), lit les journaux (Nice-Matin mais aussi les journaux nationaux), reçoit des appels de personnes, d’associations, d’élus locaux et, par tout temps, et parfois à 3 h. du matin !, se rend sur le « terrain ». Il ne passe que 10% de la journée au bureau.
Certes, arriver avec une caméra, même le plus discrètement possible, dans certaines cités peut s’avérer risqué et il en a fait par deux fois les frais. Mais –fort heureusement- ce n’est pas toujours ainsi et Benoit Ruiz reconnaît volontiers pouvoir travailler en toute liberté. Sur des sujets sensibles, il faut savoir se montrer attentif à la douleur des familles et ne pas dévoiler l’ensemble des informations ; en politique, lorsqu’on se trouve face à un représentant d’un courant contraire à ses propres opinions, il faut avoir soigneusement préparé les questions pour réussir convenablement l’interview ; dans la rencontre avec des religieux, il faut « faire attention » surtout avec les musulmans et les juifs.
3ème étape : le débriefing autour de cinq questions posées par Mmes Jullien et Dibs professeures-documentalistes :
A la question : qu’avez-vous apprécié ou bien que n’avez-vous pas aimé ? Ils ont dit :
Jason : C’est l’ambiance et les discutions.
Samy : L’organisation était bien. On a beaucoup appris sur la vie des journalistes, leur façon de travailler, les risques etc…
Wassim : C’était un moment sympa et c’est d’ailleurs la première fois que je rencontre un journaliste. Il est venu bénévolement.
Ilyas : Il nous a tout de suite mis à l’aise et c’était vraiment enrichissant.
Anthony : le métier de journaliste me semble intéressant mais semble très compliqué aussi.
Yoan : Il nous a donné des exemples sur des interventions sur le terrain.
Quentin : C’est qu’il prenne de son temps.
Souleymane : Il a bien répondu aux questions en développant et il y avait de l’animation, on a été captivé
Omar : Il était content de répondre à nos questions.
Ilias : je trouve dommage qu’il ne soit pas resté plus.
Hugo : C’est qu’on m’a volé deux de mes questions que j’ai écrites !
A la question : aimeriez-vous devenir journaliste ? Il fallait justifier son point de vue. Ils ont dit :
Jason : Non parce que je veux devenir mécanicien et j’ai toujours voulu ça.
Hugo : Non car je suis passionné par le travail de mécano et que je n’ai pas envie de passer ma vie à la télé ou à rédiger un journal, j’aime pas écrire.
Samy : Non car j’ai déjà ma propre voie.
Anthony : Non j’aimerais pas car ce métier semble compliqué, faut avoir de la volonté car parfois les journalistes se font agresser. Il y a de longues études à faire aussi. Et je suis timide.
Wilson : J’aimerai pas être journaliste presse mais journaliste automobile, pourquoi pas ?
Quentin : oui j’aimerai l’être car on peut voyager et apprendre plein de chose, on transmet notre savoir au personne. (info, lieux, culture)
Mohamed : oui car j’aime bien montrer la vérité aux gens et chercher des vérités sur les gens importants et faire des voyages, voir des gens, d’autres pays.
Souleymane : Oui car j’aime être au contact des gens, j’aime l’information et l’action.
A la question : avez-vous retenu une anecdote ? Ils ont dit :
Yassine : Le journaliste voulait faire un reportage sur le ramdam. Il avait pris une personne de 50 ans pour prouver son courage, mais trois personnes sur un scooter l’on poursuivit car ils ont cru qu’il filmait leur trafic.
Loïc : C’est qu’il a du faire un reportage devant l’immeuble des tchétchènes, il a filmé l’immeuble et le quartier quand il est arrivé trois jeunes sur un scooter, sans casque, qui ont voulu le frapper, alors M Ruiz est rentré vite fait dans sa voiture et ils se sont lancés dans une course poursuite dans Bon-Voyage.
Sousa : Lorsqu’il est parti à St Charles il se fait poursuivre par des jeunes car il dérangeait les habitants de ce quartier.
Hugo : Quand il est allé faire le reportage au Moulin, il s’est fait poursuivre en scooter par 3 mecs car ils ont cru que c’était la police.
Souleymane : L’anecdote est quand il s’est fait courser par trois jeunes en scooter à coté de Bon Voyage car il n’aimait pas qu’ils filment dans le quartier.
A la question : ce métier vous paraît-il difficile et pourquoi ? Ils ont dit :
Loïc : Le métier me parait assez compliqué car il faut parfois faire des interviews en improvisant, et faire des interviews à n’importe quelle heure.
Mohamed : Oui car c’est pas facile d’aborder une discussion avec une personne qu’on connait pas.
Anthony : oui il me parait difficile car de temps en temps il se fait agresser lors des interviews, ou encore il reçoit des coups de fils quand il y a des catastrophes naturelles, des pluies fortes par exemple. Il faut beaucoup se déplacer.
Hugo : Je pense que le métier n’est pas facile car le fait de devoir parfois improviser en direct, ça doit être difficile.
Auban : oui parce que pour les reportages il s’infiltre dans les pays dangereux où ils peuvent le torturer.
Ilyas : oui d’un coté car ils peuvent être pris pour cible dans certaines zones dites dangereuses alors qu’ils sont là pour faire leur travail.
Yassine : Non mais il faut un bon mental.
Yoan : Oui car quand un journaliste est sur le terrain et qu’il est sur une enquête sur un dangereux criminel ou dans un pays en guerre je trouve cela dangereux
Quentin : Dans le métier de journaliste je pense que ce qui est difficile serait de partir a un lieu X même si c’est dangereux, au loin pour la famille.
Gabriel : le métier de journaliste me semble difficile car quand des familles sont en deuil, c’est dur d’aller rendre visite et de questionner la famille, elle n’a pas forcement envie de parler.
A la dernière question : que pensez-vous du rôle des informateurs dans les quartiers ou sur les terrains de guerre ? Ils ont dit :
Loïc : Ils risquent parfois leurs vies. Ils ont différents type d’informateurs.
Anthony : Ils informent très bien, ils amènent les informations aux journalistes pour faciliter le travail. Pour les prévenir du danger qu’il y a sur les lieux de guerre par exemple. Parfois il peut risquer sa vie. Leur rôle est important.
Jules : Ils sont citoyens en risquant leur vie selon les sujets, surtout en temps de guerre.
Wilson : Ils peuvent risquer leurs vies (les indics, les policiers des quartiers sensibles).
Raphaël : Ils peuvent risquer leurs vies en allant dans les pays à risque et se faire agresser dans les quartiers chauds
Thomas : C’est dangereux. Ils peuvent risquer leurs vies en allant dans les gangs ou dans les guerres.
Souleymane : L’informateur a un rôle essentiel sur le terrain car il permet au journaliste de se déplacer en sécurité car il connait les lieux. Il peut lui dire les informations que le journaliste ne pourrait pas savoir car il est au contact des gens.

C’est donc un bilan positif que nous dressons à l’issue de cette rencontre, de ces échanges ; certains se trouvaient pour la première fois face à un journaliste et ce moment passé en sa présence a vraiment constitué un bonus dans notre travail sur les médias.
Madame Maguy Demana, professeur de Lettres et d’Histoire-géographie.

54 élèves des classes de Seconde Bac Pro SEN et Bac Pro ELEEC du lycée Professionnel avec leurs enseignants sont allés en visite sur le site Nucléaire du Tricastin.
L’approche technique par la connaissance technologique de la production de l’énergie électrique d’origine Nucléaire pour des élèves du Génie Electrique.
Une journée réussie ou chaqu’un aura pu profiter de la chance qui leur est donnée d’être acceuillis en ce lieu.
Nous proposons aux élèves des filières générales, techniques et professionnelles d’apprendre tout au long de l’année à danser les lois de la physique avec le tango argentin.
Patrimoine culturel et immatériel de l’humanité, le tango argentin est probablement né dans les années 1880, dans les quartiers et faubourgs populaires de Buenos Aires. Il s’est exporté en Europe dans les années 20, à partir de Paris. C’est là, en France, qu’il devient, pour la première fois, une danse de l’élite.
Le tango argentin est une danse sociale de couple caractérisée par sa technicité, son élégance et sa sensualité.
Le sensori-moteur mène au symbolique: la danse est un acte métaphysique qui porte l’homme vers le cosmos.
Lundi 10 novembre 2014, les élèves de seconde et de terminale Eleec ont eu la chance de visiter le récent stade l’ALLIANCE RIVIERA dans la matinée.
Puis l’après midi fut consacrée à une visite guidée avec des animations sportives au Musée National du Sport. Ouvert depuis juin 2014 à Nice Lingostière. Il réunit La culture et l’histoire du sport français en une magnifique exposition de trophées et d’objets, illustrées par des vidéos des plus grands champions français.
« Le théâtre nous le faisons avec vous ! » lance Alain Terrat, metteur en scène et comédien, à un parterre de 150 élèves et professeurs, vendredi 7 novembre à 15h, avant de jouer Ubu roi d’Alfred Jarry.
Les cinq acteurs incarnant l’ensemble des personnages courent, chantent, dansent, meurent, ressuscitent et nous entraînent dans un tourbillon s’achevant sur une joyeuse chanson : « Embarquons nous, embarquez- vous. »
Pièce marrante, assez loufoque mais très attachante avec des acteurs qui jouent extraordinairement bien. Ils arrivent à nous projeter dans ce monde complètement dingue avec un jeu de sons génial.
HUREZ Anthony
Le 20 novembre prochain, les associations « Elles bougent » et « UPSTI » lancent ensemble la seconde édition de la journée nationale «
Les objectifs de l’évènement
Au cours de la soirée privée du lundi 27 octobre au Negresco à Nice, les élèves des classes de Seconde MVA1 et Première MVA2 ont été invités par la Fondation de France ainsi que leurs parents, leur professeure de français Nadine Géhin et Hervé Beauvais, proviseur, à l’occasion de la lecture de testaments d’auteurs.

J’ai eu nombre de pupitres, le plus plaisant fut Emilie…
Enfin, je garde mes dernières lignes pour mon ancienne amante, amie et rivale la belle mais au combien perverse Marquise de Merteuil.

Si j’meurs, j’ai pas de fortune à léguer. La liberté, c’est mon bien le plus précieux.
Moi Chêne, grand, majestueux né noble pensais mourir noble.
Créé en 1970, le club Astronomie du Lycée des Eucalyptus s’est doté en 1990 d’une coupole de 3.60m de diamètre, installée sur le toit-terrasse d’un des bâtiments du lycée.
Afin d’améliorer la précision et l’efficacité des observations et de permettre à terme des observations à distance et d’ouvrir ainsi l’utilisation du télescope à un plus grand nombre d’élèves, les responsables du club ont confié, il y a deux ans, à la section de B.T.S. Electrotechnique du lycée la tâche d’étudier et de réaliser, dans le cadre d’un projet de 2ème année, l’automatisation des mouvements du télescope et de la coupole.
Mais le projet global ne sera pas terminé pour autant : il faudra passer ensuite à une autre phase, celle de l’observation à distance, avec la mise en image des observations faites au télescope et leur transmission sur le réseau informatique du lycée. Pour cela, il faudra faire appel à d’autres compétences présentes dans l’établissement comme notamment celles développées dans le B.T.S. Systèmes Numériques.
Lors de la restructuration du lycée, le toit du bâtiment Archimède a été équipé de 828 panneaux photovoltaïques sur 1200 m2. Pour des raisons règlementaires et économiques, l’installation a été divisée en deux parties:
Afin de permettre des relevés de grandeurs physiques aisément et en toute sécurité, le projet suivant a été confié à 6 étudiants de 2ème année de BTS électrotechnique durant l’année scolaire 2013/2014.
L’ensemble de ces mesures étant consultable sur le réseau informatique du lycée. Cela permettra de calculer le rendement des différentes parties de l’installation et de traquer d’éventuelles sur consommations.

l’industrie » était organisé au sein du lycée le vendredi 3 octobre. Ce parcours, en 3 étapes, permettait de découvrir l’importance de la géométrie dans différents aspects du quotidien : le design et l’industrie.
Visite des ateliers permettant d’observer l’évolution des machines-outils.